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Visite d’Etat du Président Ouattara dans le Zanzan?
Pour moi quand on parle de visite d’Etat dans une région ici au pays. C’est de façon global une visite officielle qu’effectue le chef d’état avec son équipe gouvernementale dans une région du pays. Elle a pour principal objectif d’être plus proche des populations pour échanger avec elle. Afin de mieux s’imprégner des problèmes de la région en question. Pour y envoyer des solutions de développement approprier, et comme cette fois-ci c’est adosolutions on expert avoir des solutions à tous les problèmes de la région d’ici la fin de son mandat. On peut dit Dieu merci dans le Zanzan parce que la Paix ici c’est notre deuxième religion. Donc l’objectif ici ce n’est rien d’autre que le développement. Sans plus tarder permettez-moi de soumettre les problèmes de la région du Zanzan (Gontougo) avec un regard citoyen (citoyen lambda) en même temps fils natif de la région.
Comme dans la plupart des régions du pays la région du Zanzan est confrontée à de nombreux problèmes de développement. Ces problèmes de développement ne sont rien d’autre que la pauvreté qui gagne du terrain, l’éducation qui ne marche pas comme ailleurs, la santé publique qui n’est pas accessible, le réseau routier en très mauvaise état, en plus l’accès a l’eau potable et à l’électricité est encore une priorité pour les populations.
-Il faut signaler que la région du Zanzan est l’une des régions les plus pauvres du pays. Le taux de pauvreté est très élever et il arrive souvent quand on parcourt cette région on a souvent l’impression que ce n’est pas une partie de la Côte d’Ivoire. Le problème c’est l’agriculture qui est toujours traditionnelle, qui ne produit assez et quand elle produit c’est les hommes d’affaire qui en bénéficie. C’est le cas des produits vivriers (igname, manioc, maïs…) mais aussi de produit industriel comme les noix de cajou qui est considéré comme le future café-cacao de la région.
-Le problème c’est aussi l’éducation qui ne marche pas comme ailleurs dans le reste du pays. C’est la région qui enregistre l’un des taux de scolarisation les plus faible du pays surtout celle de la jeune fille. Et évidement le taux d’analphabétisme le plus élever.
Le problème c’est encore l’accès à la santé pour tous qui ne fonctionne pas. Parce que les infrastructures de santé public il n’y en n’a pas assez et même s’il y a n’a elle ne fonctionne pas. Pour la petite histoire chez moi au village il y a une maternité public construit par l’état et prêt à fonctionné, même le domicile de la sage femme est prêt. Seulement l’Etat n’a pas encore affecté de sage femme et cela dure depuis 13 ans. Et c’est une réalité qui se vit dans toute la région.
Le vrai problème c’est aussi le réseau routier qui est en très mauvaise état comme dans la plus par des régions du pays profond. Mais la particularité du réseau routier du zanzan fait que son mauvais état est un véritable handicap pour le développement de la région. Ce sujet est tellement important qu’elle mérite d’être décortiquer ou décrypter très bientôt dans le prochain billet de ce blog. Lire la suite…
Le délestage empoisonne la vie quotidienne des Ivoiriens
Depuis quelque moment on assiste comme bien d’autres ivoiriens a une sorte de petit délestage dans certaines communes ou sous quartier d’Abidjan. Cette semaine les coupures intempestives d’électricité se sont accentuées sur l’ensemble du territoire national, ce qui commence a faire grand bruit dans les rues d’Abidjan et il ne se passe pas un seul jour sans qu’on nous parle de coupures intempestives d’électricité au pays des Éléphants. Mais pour certaines ivoiriens on commence à parler de plus en plus de crise énergétique au pays.
La Compagnie Ivoirienne d’Electricité (CIE), en situation d’entreprise protégée, ne juge pas utile d’informer au préalable les usagers de ses interruptions de service, sans pour autant être rappelée à l’ordre ou inquiétée par le gouvernement ou les agences de régulation du secteur. La productivité des Ivoiriens est mise à mal par le déficit énergétique consécutif à la mauvaise gestion des ressources naturelles et énergétiques. On se souvient que déjà en 2010, les mêmes causes avaient provoqué le ralentissement de la productivité, et donc la diminution du travail dans les entreprises.
En 2012, les coupures répétitives d’électricité ont également des conséquences substantielles sur les PME et les ménages, qui ne peuvent pas exercer leurs activités professionnelles (tailleurs, coiffeurs, mécaniciens, soudeurs, restaurateurs, tenanciers de maquis etc.) et perdent leurs outils de travail et appareils ménagers, souvent endommagés par les modulations intempestives de tension. La perte de denrées alimentaires, abîmées pour cause d’interruption de la chaîne du froid, affecte également familles et commerces.
Cette crise énergétique gangrénant la qualité de vie des habitants et plusieurs activités économiques est mal gérée par le gouvernement, qui annonce pourtant tabler cette année sur une croissance économique de 8% pour soutenir ses réformes, alors que la réalité est reflétée par le taux de croissance négatif enregistré en 2011 (-5,8%), le sous-emploi et les mises en chômage en cascade qui se multiplient. Les Ivoiriens, enfermés dans la paupérisation, ont donc raison de s’inquiéter.
Source: L’intelligent d’Abidjan
Encore des petits délestages dans certains quartiers d’Abidjan
Comme dans la plus pare des grandes villes en Afrique le délestage est devenu un phénomène qui entraine le ralentissement de l’économie. Dans la ville Abidjan après une grande crise de délestage en début 2010 aujourd’hui nous assistons par moment dans certaine quartier d’Abidjan à des petits délestages. Mais a côté de ce délestage il y a aussi les baisses de tension qui sont très fréquent, autrement dit l’électricité distribué n’est pas totalement stable.
Un exemple dans la commune d’Adjamé au secteur nord du black market que nous connaissons tous il y a là-bas par moment un véritable délestage en plaine journée qui ne dit pas son non ces deux dernier mois de l’année 2011. Alors que c’est dans cet endroit que nous allons généralement pour réparer nos appareils notamment les téléphones mobiles les Smartphones et autre, d’autre pour tropicaliser leur appareil ou encore les décoder. Mais sans oublier tous ces gens qui vendent les appareils électroniques qu’il faut tester avant toute commercialisation. Il y a un gérant de Cyber qui se plaignait en disant avec ça comment je vais payer ma facture d’internet. Toutes ces activités ont connus des perturbations en cette fin année du faite du délestage dans ce secteur du black market. Dans la commune d’Abobo le même constat est fait dans certaine sous quartier. Dans le sous quartier Dokui extension derrière le groupe scolaire Nanti là-bas aussi le délestage se signale entre 19 heures et 23 heures avec une fréquence de 2 à 3 coupures. Sans oublier la baisse de tension qui reste permanent toute la nuit.
Et pour tant quand regarde la télévision nationale on dit la Côte d’Ivoire est autosuffisant en électricité, oui on nous informe aussi que notre pays est un pays exportateur d’énergie électrique aux autre pays voisin. Oui ! Mais comment se fait-il que les populations ivoirienne non seulement payent cher l’électricité et par endroit elles n’en profitent pas comme il se doit du faite des petits délestages et les baisses de tension. Nous pensons que d’abord cela n’est pas une fierté pour la CIE Compagnie Ivoirien de l’Electricité aussi pour les populations ivoirienne.