Adjamé une fille trop sexy provoque la colère des jeunes
Quand les filles trop sexy provoquent la colère des jeunes de la rue voila ce que ça donne. Au paravent j’ai entendue parler de cette histoire. Oui cette histoire ici même à Abidjan que les filles trop sexy sont victimes d’agression dans certaines quartiers populaires, comme Abobo et Adjamé. il y a même des vidéos sur ces pratiques qui circulent sur les téléphone mobile ici au pays des éléphant.
Mais un samedi du mois de juin en début d’après midi moi même j’ai été témoin d’agression d’une jeune fille trop sexy dans la commune d’Adjamé .
Tous à commencer quand la jeune fille trop sexy est arrivé au niveau de la grande gare routière d’Adjamé ‘Gbêba’, dans les périmètres du mythique marché noir du Black-market très très fréquenté par les jeunes sans emploi qui se débrouille comme on le dit ici. Ces jeunes pour la plus par très violent et agressive ont très vite interpellé une jeune fille dit-on qu’elle est mal habillé, c’est-a-dire trop sexy avec des vêtements court et aussi très séduisante à leur yeux. Pourtant quand ces jeunes filles généralement trop sexy sont sollicité par ces jeunes surexcité, elles font la sourde oreille.
Pour ces jeunes cela est une provocation et pour cela elle doit être punie pour ça, mais par qui ? Bien sur par eux même car dans ces lieux c’est eux qui font la loi dans les rue et les couloirs. Alors ces jeunes bien en groupe ont donc décidé de déshabiller et mettre à nue la jeune fille. Qui n’était accompagné que par quelques amis pour faire des achats, la pauvre elle n’aurait jamais due aller ce jour là à Adjamé.
Is ont commencé à l’agresser verbalement en la traitant de fille mal habillée, mal élevée, et de prostituée…etc en se regroupant autour d’elle pour commercer son agression physique. En réalité leur principale objectif c’est de dépouiller la jeune fille de tous ces biens (l’argent, bijoux téléphone mobile…) en suite profiter pour une agression sexuel. C’est ainsi qu’elle a été agressé violemment en plein midi ce qui a provoqué un attroupement énorme comme vous pouvez le voir sur les images ici que j’ai pris de loin (pixciv.blogspot.com) à cause des risques. La seine si violent ressemblait à une tentative de viole collectif à ciel ouverte en plein gare routière.
Même le service de sécurité de la gare routière était débordé mais il a fallut l’intervention du premier responsable des lieux un certain Touré Adama président de la CNGRCI qui à accepter de mettre à l’abri la jeune fille dans ces locaux de la coordination des gare routière. En plus il a fallut quelque coup de feux en l’aire d’un policier en civile qui était sur les lieux pour dispersé ces jeunes. Pendant ce temps le CCDO a été appelé d’urgence.
Une foi à l’abri le constat est claire près-que tous ce que la jeune fille avait porté comme vêtement ont été déchiré je dis bien tous mais particulièrement les parties intime, je vous épargne du reste. Heureusement que des femmes ont apporté rapidement leur pagne pour qu’elle puisse se protéger des regards.
Aussitôt arrivé avec un peu de retard ils ont puis faire sortir la jeune fille de la gare routière d’Adjamé. Ainsi prend fin le claver de la jeune fille à Adjamé une des rares commune d’Abidjan qu’elle n’aurait jamais due venir pour la première fois.
Dans un pays ou le terme d’agression sexuelle n’est pas retenu par le code pénal sauf celles à l’encontre des mineurs. Cela dit avant que les autorités judiciaires ne décident quelque chose, cela est un signalement pour les filles avant de se rendre dans certains quartiers d’Abidjan. Car ces pratiques barbares deviennent de plus en plus récurrentes. Moi j’ai entendu parler de cela il y a 6 mois et aujourd’hui je suis un témoin direct des mêmes faits donc attention à vous les filles d’Abidjan! comme on le dit ici ya pas affaire de dire je ne savais pas c’est ça qui est lalahooo.
Je rappelle bien que cette histoire est un fait réel qui se sont déroulé le 22 juin 2013 à Abidjan (Adjamé) .
—
Billet similaire