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Guillaume Soro président de l`Assemblée nationale: « Cela fait encore penser à du rattrapage » (Silver Konan)
ANDRÉ SILVER KONAN À PROPOS DES CANDIDATURES DE SORO ET SARAH À L’ASSEMBLÉE NATIONALE
« Cela fait encore penser à du rattrapage »
Après la désignation de Guillaume Soro et , comme candidats du RDR à la présidence et à la vice-présidence de l’assemblée nationale, voici ce qu’on pouvait lire ce soir, sur la page officielle facebook du journaliste-écrivain André Silver Konan.
« Guillaume Soro et Sarah Sakho-Fadika, désignés candidats du RDR à la présidence et à la vice-présidence de l’assemblée nationale.
Décryptage : la candidature de Soro viole la constitution, qui exige que le candidat à la présidence du Parlement ait 40 ans. L’accord de Pretoria ne s’appliquait qu’aux seuls candidats à la présidentielle passée, signataires dudit accord. Le choix de Sarah Sako-Fadika est conforme à la constitution, quoique cela fait (encore) penser au « rattrapage ». Conclusion : Il est grand temps de donner un sens à nos textes et d’oeuvrerr en faveur de l’ouverture géopolitique ! ».
Clair Amondoua – Source: lebanco.net
Guillaume Soro élu nouveau président de l`Assemblée nationale à 94.77%
L`ex-Premier ministre Guillaume Soro a été élu ce lundi à Yamoussoukro à l`unanimité, nouveau président de l`Assemblée nationale, une première depuis dix ans au pays des Eléphants.
– Yamoussoukro: Guillaume Kigbafori Soro élu à la tête de l’Assemblée Nationale avec 236 voix sur 249
Nombre de votants: 249; Sufrrages exprimés: 249; Bulletins nuls 01 ; Abstent° 12; Soro a donc obtenu 236 voix soit 94%.
– Yamoussoukro: Madame Sako Sarah Fadiga élue première vice présidente de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire.
Libéralisation de l`audiovisuel cinq chaînes de TV prévues
Selon une dépêche AFP la libéralisation de l`audiovisuel en Côte d`Ivoire prévoit l`attribution des fréquences à cinq chaînes de télévisions dont les promoteurs devront chacun s`acquitter d`une caution d`un milliard de FCFA (1,5 million d`euros), a annoncé mardi l`organe de régulation.
« La capacité technique de la Côte d`Ivoire est autour de cinq chaînes de télévision », a déclaré le président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle en Côte d`Ivoire (Haca), Ibrahim Sy Savané, lors d`une conférence de presse.
Pour postuler, « il faut être une société de droit ivoirien, disposer d`un cautionnement d`1 milliard et payer des redevances annuelles de plus de 100 millions FCFA (environ 152.000 euros) ».
La commission de sélection des offres, composée de neuf membres « va bientôt se mettre en place » pour faire aboutir le processus, a souligné M. Sy Savané, ancien ministre ivoirien de la Communication (2007-2010).
Cette commission va « s`atteler au dépouillement des appels d`offres, et attribuer des fréquences (…) aux entrepreneurs audiovisuels ayant une capacité financière avérée », a-t-il poursuivi.
La Haca est chargée de la libéralisation de l`audiovisuel en Côte d`Ivoire.
Le pays dispose actuellement d`une seule chaîne publique de télévision, la RTI.
Crise Ivoirienne: Charles Onana, et ces Franco-Camerounais ont-ils un Problème avec la France
Commençons d’abord par la Conférence sur le livre de Charles Onana : Folle journée, ce jour la, à Yaoundé ( Article de L’INTER – Vendredi 24 Février 2012 -)
– Selon ce quotidien ivoirien L’Inter « les conférences publiques organisées par des pro-Gbagbo au Cameroun à Yaoundé, a été annulée par les autorités camerounaises. Pour cause Les dirigeants de ce pays d`Afrique centrale ont subi de fortes pressions extérieures venant des autorités françaises et ivoiriennes, pour faire annuler cette activité des partisans de l`ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo. Les principaux invités et intervenants, dont l`avocate Lucie Bourthoumieux, conseil juridique de Laurent Gbagbo, Charles Onana, l`auteur du livre qui devait être au centre des échanges, tous deux des Franco-camerounais, ont même été interpellés par la police nationale. Ils auraient été relâchés et sommés de quitter au plus tôt le Cameroun ».
ANASSE ANASSE
– On se demande ici en Côte d’Ivoire pour quoi la Crise Ivoirienne s’analyse malheureusement a l’extérieur par un schéma de réflexion tout tracer qui ne correspond pas du tous avec ce qui se passe sur place en Côte d’Ivoire. La plus par de ces analyses se font par ces Franco-Camerounais ou camerounais, ou encore de soit disant intellectuel Africains qui sont en grand majoritaire originaire du Cameroun.
– On a même vue certains en pleine crise poste électorale à la télévision national RTI venir soutenir l’ex- présidant Laurent Gbagbo touts simplement a cause d’un sentiment antifrançais pour certains et pour d’autres des intérêts personnel.
– Nous avons trouvé des éléments de réponses sur Voxafrica une télévision panafricaine indépendant qui est plutôt vue ici en Côte d’Ivoire et même en Afrique de l’ouest comme une télévision Camerounaise. Tous simplement en regardant ce documentaire sur Voxafrca dans l’émission African chronicles France-Cameroun, la guerre cachée. Un documentaire antifrançais qui provoque évidement un sentiment très négative dans la mémoire des Camerounais en vers le pays colonisateur qui est la France et même les soutiens de ce pays colonisateur en Afrique comme la Côte d’Ivoire avec le régime Ouattara.
– Pour mieux comprendre cette position Camerounais/franco-camerounais dans la crise poste électorale ivoirienne. Il faut dire que ces Camerounais ne pouvais pas soutenir Ouattara parce qu’il a gagné dans les urnes, mais plutôt parce qu’il a le malheur d’avoir le soutien du pays colonisateur la France à la tête Sarkozy, ce qui n’est pas bien vue ou perçue quand on est Camerounais et anticolonialiste.
– On vous laisse voire les commentaires des Camerounais sur le site de Voxafrica (lien ci-dessou) après avoir regarder ce documentaire qui donne au camerounais ou d’autre Africains un sentiment d’antifrançais.
patson7 : je suis choqué je deteste la france plus que jamais …asservir les peuples elle ne sais que faire cela .meme devant dieu de gaulle et sa clique rendrons compte pour tous ces morts et ceux d’aujourd’hui qui meurent a cause du sous-developpement .
Faustin: c’est aujourd´hui que tu es au courent ? le monstre Messmer vit encore en france et il est tres fier quand il raconte comment il a decimé les villages entiers a l ouet-cameroun. ce qui est marrent c est que ce vieux n est meme pas inquieter.je te rappelle que mon Village est depuis l epoque devenu la Foret. lorsqu on veut rendre homage aux ancetres on est obliger d aller deposer la gerbe de fleur et faire des sacrifices sous des Arbres et les parents nous raconte je cite « ici etait notre cuisine la etait notre maison a coucher etc.. » ces Francais! il y a longtemps que je les ai oubliés.
http://www.voxafrica.com/vod/videos/?v=0_759f17ps&PHPSESSID=4a3d39a2f0230eb19e8b4f0c6eab5671
– Voxafrica, Émission Sans Rancune: Pour son livre «Côte d’Ivoire: Le coup d’Etat»: Le journaliste Charles Onana. Concernant le livre de ce monsieur, on ne l’a pas encore lue mais on a déjà des échos de ce livre qui a pris position pour l’ex-président Laurent Gbagbo. Comme quoi on connais déjà la feuille de ce route (L’anticolonialiste). C’est malheureusement un livre qui parle de la Côte d’Ivoire, qui a été écrit l’extérieur du pays et part un étranger (Charles Onana,Franco-Camerounais). Et c’est évidement un schéma de réflexion tout tracer qui ne correspond pas du tous avec le conteste de ce qui se passe sur place en Côte d’Ivoire. C’est en quelque sorte la vérité de Charles Onana partager par les pro-Gbagbo. Comme on le dit Il y a toujours deux ou plusieurs versions d’une même Histoire.
– On se demande alors pour quoi ces Franco-Camerounais ou intellectuel Camerounais utilisent ou passe par la Côte d’Ivoire notamment la crise ivoirienne pour mener un combat anticolonialiste contre la France quand on sait que la Côte d’Ivoire n’est pour rien dans le passé coloniale du Cameroun.
Différents prix du carburant dans un seul et même pays pour quoi ?
Des sources concordantes font état de la flambée des prix du carburant dans l’ex-zone CNO (Centre, Nord et Ouest), autrefois occupée par la rébellion. Pour mémoire, Alassane Ouattara, à travers des communiqués publiés alors qu’il était dans l’opposition, s’insurgeait contre les augmentations du prix du carburant, qu’il qualifiait de mépris pour les populations ivoiriennes souffrant déjà de la stagnation des revenus.
C’est le lieu de rappeler à ces passagers d’hier, devenus aujourd’hui capitaines du même bateau Ivoire, qu’ils naviguent à vue depuis bientôt un an, sans aucune réduction, aussi infime soit-elle, du prix du carburant. Pis, ce dernier flambe même dans les zones qui, il n’y a pas longtemps, étaient sous leur contrôle. Récemment, la décision prise par le gouvernement de clore les frontières Nord au carburant frauduleusement introduit de l’extérieur, sans pour autant assurer le ravitaillement légal de la zone, a fortement fait grimper le prix de l’essence, qui atteint 3000, voire 4000 FCFA le litre dans certaines localités du Septentrion ivoirien. Les répercussions sur les populations ont été telles qu’elles ont eu raison de la volonté des décideurs, qui ferment désormais les yeux sur le trafic illégal transfrontalier des hydrocarbures.
Source: extrait d’un article publier dans L’intelligent d’Abidjan
Le délestage empoisonne la vie quotidienne des Ivoiriens
Depuis quelque moment on assiste comme bien d’autres ivoiriens a une sorte de petit délestage dans certaines communes ou sous quartier d’Abidjan. Cette semaine les coupures intempestives d’électricité se sont accentuées sur l’ensemble du territoire national, ce qui commence a faire grand bruit dans les rues d’Abidjan et il ne se passe pas un seul jour sans qu’on nous parle de coupures intempestives d’électricité au pays des Éléphants. Mais pour certaines ivoiriens on commence à parler de plus en plus de crise énergétique au pays.
La Compagnie Ivoirienne d’Electricité (CIE), en situation d’entreprise protégée, ne juge pas utile d’informer au préalable les usagers de ses interruptions de service, sans pour autant être rappelée à l’ordre ou inquiétée par le gouvernement ou les agences de régulation du secteur. La productivité des Ivoiriens est mise à mal par le déficit énergétique consécutif à la mauvaise gestion des ressources naturelles et énergétiques. On se souvient que déjà en 2010, les mêmes causes avaient provoqué le ralentissement de la productivité, et donc la diminution du travail dans les entreprises.
En 2012, les coupures répétitives d’électricité ont également des conséquences substantielles sur les PME et les ménages, qui ne peuvent pas exercer leurs activités professionnelles (tailleurs, coiffeurs, mécaniciens, soudeurs, restaurateurs, tenanciers de maquis etc.) et perdent leurs outils de travail et appareils ménagers, souvent endommagés par les modulations intempestives de tension. La perte de denrées alimentaires, abîmées pour cause d’interruption de la chaîne du froid, affecte également familles et commerces.
Cette crise énergétique gangrénant la qualité de vie des habitants et plusieurs activités économiques est mal gérée par le gouvernement, qui annonce pourtant tabler cette année sur une croissance économique de 8% pour soutenir ses réformes, alors que la réalité est reflétée par le taux de croissance négatif enregistré en 2011 (-5,8%), le sous-emploi et les mises en chômage en cascade qui se multiplient. Les Ivoiriens, enfermés dans la paupérisation, ont donc raison de s’inquiéter.
Source: L’intelligent d’Abidjan