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L`enquête de la CPI peut désormais s`étendre aux crimes commis depuis septembre 2002.
Ce jeudi soir Selon une dépêche de l’AFP la Haye – Jusqu`ici limitée aux violences post-électorales de fin 2010-début 2011, l`enquête en Côte d`Ivoire de la Cour pénale internationale (CPI) peut désormais s`étendre aux crimes commis depuis la tentative de coup d`Etat contre Laurent Gbagbo en septembre 2002.
– Le procureur Luis Moreno-Ocampo a été autorisé par les juges, dans une ordonnance datée de mercredi publiée jeudi, à enquêter sur des crimes contre l`humanité et des crimes de guerre, à savoir des meurtres et des viols, commis tant par les rebelles que par les forces pro-gouvernementales ivoiriennes.
« Les événements violents en Côte d`Ivoire au cours de la période allant du 19 septembre 2002 au 28 novembre 2010, bien que d`intensité variable et commis à des endroits et à des moments différents doivent être considérés comme une seule situation », c`est-à-dire faisant l`objet d`une seule enquête, ont estimé les juges de La Haye.
Pour les magistrats, « une crise continue liée à un conflit politique prolongé et à une lutte pour le pouvoir a culminé avec les événements à propos desquels la chambre avait précédemment ouvert une enquête ».
Le procureur de la CPI avait demandé par ailleurs aux juges à pouvoir enquêter sur la totalité de la période remontant jusqu`à la tentative de coup d`Etat contre Laurent Gbagbo le 19 septembre 2002, ce qu`il a obtenu.
« On a va regarder ce qui s`est passé depuis 2002 mais on n`a pas d`obligation d`enquêter sur ces crimes-là, on a maintenant la compétence pour le faire si on le souhaite et si on l`estime pertinent », a expliqué à l`AFP Pascal Turlan, conseiller au bureau du procureur.
Les crimes Dans leur ordonnance, les juges évoquent notamment: l`exécution de 131 personnes par les forces rebelles le 6 octobre 2002 après la prise de la ville de Bouaké. Les 27 et 28 novembre 2002, les forces gouvernementales avaient tué 120 civils à Monoko-Zohi, un village près de Daloa, rappellent-ils.
Cette décision de la CPI fait appels a une autre affaire le charnier de Yopougon
Mais on se demande encore si la CPI ne va pas revenir plus en arrière précisément en 2000 ou les crimes de sang ont commencé en Côte d’Ivoire avec le charnier de Yopougon. Il faut signaler qu’aucune lumière n’a été faite sur ce Charnier de 150 personnes retrouver dans la commune de Yopougon au lendemain de la prise de pouvoir par l’ex-Chef d’Etat en 2000. Affaire a suivre !!!
Can2012 les supporteurs ivoiriens dans les rues d’Abidjan a quelques heures de la finale ce dimanche
CAN 2012 réportage photo à Abobo a quelques heures de la finale ce dimanche
CAN-2012 – La Zambie dans l`Histoire, la Côte d`Ivoire et Drogba terrassés
Oui et oui c’est la Zambie qui a remporté la CAN 2012 aux dépens de nos Eléphants, ce dimanche soir, après une séance, stressante, de tirs au but (0-0, 8-7). Si les spécialistes connaissaient le potentiel de cette formation, un bon nombre de personne au pays des éléphants et même du continent reste surpris par ce triomphe cette équipe Zambienne qui a pour tant éliminer deux des grands favoris de cette can2012 notamment Sénégal et le Ghana . Et pourtant cela paraissait bien logique.
Pourtant comme les CAN 2006, 2008 et 2010 les Éléphantes nous ont fait rêver même tous le continent durant cette CAN2012, elle a montré un bien meilleur visage. 6 matchs, 5 victoires, 1 nul et 0 but encaissé. Quelle performance ! Oui et oui. Mais cette performance n’a pas suffit face à une équipe zambienne plus que jamais déterminée mais aussi avec plus d’envie que nos Éléphants
Grosse Grosse Grosse déception donc pour cette « Génération Didier Drogba » qui manque là, l’occasion de décrocher le titre continental surtout surtout cette pénalty rater a 20 minute de la fin du match . Comme quoi c’est encore une histoire de pénalty rater par Didier Drogba qui est le meilleur joueur que le pays des Éléphants na jamais connu dans son histoire du foot. Et cela va faire encore couler de l’encre dans les rue d’Abidjan.
Voila ce que nous pouvons retenir de l’Interview de Laurent Dona-Fologo a FRAT-MAT
Voila ce que nous pouvons retenir de l’Interview de Laurent Dona-Fologo le tout dernier président de conseil économique et sociale aussi l’ex-secrétaire Générale du PDCI et l’actuel vice président du CNRD.
– LDS « Il ya des gens qui aiment la seulement leur pays que quand ils sont au pouvoir. Tel n’est pas mon cas. »
– LDF « On ne doit pas cesser d’aimer son pays parce qu’on n’est plus au pouvoir »
– LDF « Etre dans l’opposition ne signifie pas empêcher le pouvoir de gouverner ».
– LDF « Je suis pour une opposition responsable,c-à-d une opposition sans belligérance, une opposition qui parle avec le pouvoir »
– LDF « Être dans l’opposition, accepter le pouvoir en place, ne veut pas dire nécessairement qu’on entre dans le gouvernement
– LDF « Je ne serai jamais du côté de ceux qui provoqueraient de nouveaux troubles pour ramener la souffrance en CI
– LDF « Moi, je veux que la Côte d’Ivoire avance et que dans 5 ans, le peuple juge par des élections, que j’espère, non armées »
On vois d’abord un discours de vérité mais pour tous ceux qui connaissent l’homme Laurent Dona-Fologo c’est plutôt un discours d’opportuniste pour plaire au pouvoir en place et trouver une place dans l’ombre au côte de ceux-ci.
Pendant la crise poste électorale prés de deux mois avant l’arrestation de l’ancien président Laurent Gbagbo au moment ou on parlait de deux président deux gouvernement à la tête de note pays, il disait ceci sur la RTI « le seul président que moi (Laurent Dona-Fologo) je reconnais dans ce pays est le président Laurent Gbagbo ». Et quelque moi plus tard c’est-a-dire en avril juste après l’arrestation de Laurent Gbagbo il est venue à l’Hôtel du Golf sur la TCI le même homme disait « Le président Houphouët-Boigny nous a dit que la politique est une simple appréciation de la réalité du terrain et aujourd’hui la réalité du terrain dit que c’est Alassane Ouattara qui est le président et moi j’accepte telle qu’il est »
En faite c’est la philosophie de ce monsieur être toujours dans le cercle de celui qui a le pouvoir même s’il ne partage pas le même idéologie politique que ce parti. Comme pour reprendre les propos de certaines ivoiriens qui disent que Fologo lui il accroche son habile la ou le soleil brille.
l’UA toujours divisé quand il s’agit de prendre une décision importante pour le continent
Pour Jeuneafrique.com c’est un véritable coup de tonnerre ce lundi 30 janvier, les 52 chefs d’État réunis pour le sommet de l’Union africaine à Addis Abeba n’ont pas réussi à départager les deux candidats à la présidence de la Commission de l’UA, le Gabonais Jean Ping et la ministre sud-africaine de l’Intérieur, Nkosazana Dlamini-Zuma. Comme solution le vice-président de la Commission, le Kenyan Erastus Mwencha assurera l’intérim lors des six mois à venir, jusqu’au prochain sommet de l’UA au Malawi où un nouveau vote sera alors organisé.
Et pour tant le président sortant, Jean Ping, a bien devancé l’ancienne femme de Jacob Zuma lors des trois premier tours de vote (28 contre 25, 27 contre 26, puis 29 contre 24 voix, selon une dépêche AFP), mais sans obtenir la majorité des deux tiers requise par le règlement de l’UA pour être élu.
Mais avec tous ça les chefs d’États de l’UA ont tenté d’afficher leur unité. « Il n’y a ni gagnant ni perdant », a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara. Michel Sata a lui assuré ne pas être « déçu » par le résultat du scrutin. « Le continent n’est pas divisé, a-t-il déclaré. Une élection divise toujours les gens ».
Comme le dit Christophe Boisbouvier les deux adversaires le savent c’est en Afrique de l’Ouest que tout va se jouer. D’après nos informations, le Nigeria – en compétition avec l’Afrique du Sud pour une place de membre permanent au Conseil de sécurité -, le Niger et la Côte d’Ivoire sont favorables à Ping. Dans les autres pays francophones, le Gabonais part aussi avec une longueur d’avance. Mais attention. Depuis sa visite d’État à Cotonou, le mois dernier, Jacob Zuma est dans les meilleurs termes avec Boni Yayi. Le président sud-africain espère aussi gagner le vote du Guinéen Alpha Condé. Et celui-ci semble très hésitant. Qui choisir de Ping, son vieil ami du temps de la Fédération des étudiants d’Afrique noire en France (Feanf) ou de la candidate de son nouvel ami.